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Overview

La réponse en 2023 se concentre principalement sur la reconstruction et la réhabilitation des maisons des ménages affectés par le tremblement de terre d'août 2021 dans le Grand Sud (départements de la Grand'Anse, des Nippes et du Sud) et des déplacés affectés par la violence des gangs sur la Zone métropolitaine de Port-au-Prince.

Les zones touchées par des violences répétées, provoquant de nombreux déplacements de population. L'accès humanitaire aux populations vulnérables dans les zones contrôlées par les gangs reste extrêmement limité.

L'augmentation des déplacements nécessite une assistance accrue en produits non alimentaires de première nécessité (kits d'hygiène, kits de cuisine, récipients de stockage d'eau et couvertures).

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Pour réduire le nombre de cas de protection et de violence basé sur le genre à Port-au-Prince en Haïti, 21 millions de dollars sont requis pour que 200 000 personnes déplacées puissent accéder à un logement sûr et décent

Note de plaidoyer

dd 200 000 personnes ont été déplacées à cause de la brutalité des gangs dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince, celles-ci ont donc un besoin urgent d’accéder à un logement sûr et adéquate pour éviter toute nouvelle exposition à des violences et risques sécuritaires. Les membres du Cluster Abris & BNA nécessitent 21 millions de dollars pour assister ces 200 000 personnes avec une réponse en abris d'urgence.

Le Cluster a convenu de l'approche stratégique suivante :

• 70 000 personnes bénéficieront de biens non alimentaires (couvertures, nattes, récipients pour conserver l’eau, bâches, kits cuisine)

• 53 centres collectifs seront réhabilités et aménagés adéquatement.

• 130 000 personnes abritées en familles d’accueil recevront une assistance en espèce/cash.

La violence des gangs a entrainé le déplacement d’environ 200 000 personnes, dont environ 70 000 qui ont trouvé refuges dans les 80 sites spontanés.

Actuellement, 31 000 personnes dorment dehors à ciel ouvert, et 34 000 sont entassées dans des salles de classes. Les conditions inadéquates dans ces abris ainsi que la promiscuité fait qu’augmentent les tensions familiales, qui peuvent à leur tour contribuer à la violence et augmenter le risque d'agressions sexuelles.

Lire la suite en français et en anglais

Retrouver l'article entier sur Reliefweb

 

 

 

 

 

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Coordination Team
Joelle Fontilus Deloné
Sector Lead
UCLBP
Serge Semerzier
Sector Lead
DGPC
Marie-Pier Therrien
Sector co-lead
IOM
Daniele Febei
Head of operation
IOM
Alca Kuvituanga
Information Management Specialist
IOM